Oligo, le 28.07.2010 sur un toit des hautes cités en vain l'aborigène
attend que lui reviennent les boomerangs lancés
au temps où les kangourous couraient dans la plaine
Commentaires
Monique Phoba, 29.07.10, 9:16:38 Un poème d'une profonde nostalgie, dont le chagrin maîtrisé émeut, dans une douceur d'évocations infinitésimales...
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