Oligo , le 13.07.2011 la mer et ses marées dans leurs habits noirs
et le ciel qui tient contre lui tous ses nuages serrés
ont des condoléances à recevoir
le paysage faisait partie de la famille
Commentaires
Monique Phoba, 15.07.11, 0:05:45 Oh cette nature qui souffre et se meurt avec noblesse dans un vivant massacre lent, comme elle nous contemple longuement, sachant que mourant elle nous emporte avec elle... Et que c'est nous qui la tuons. Une vendetta sans vainqueur, ni vaincus. J'aime ce poème...
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