Oligo, le 06.05.2011 tu cours dans les hautes herbes comme une folle
le vent soulève ta robe
et te viole
la vie t'a refilé son microbe
tu porteras l'enfant d'Eole
et chaque jour son sourire te consolera
Commentaires
Monique Phoba, 07.05.11, 10:43:25 Léger, mortel, mythologique... Tout y est dit de la vie d'une femme, si libre, puis si claustrée. Parturiente consacrée.
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