Et ton corps, ta cadence
M'emmena jour et nuit
Tâtonner et toucher la magie de la vie
Ce miroir, ce reflet
C'est le mien je le vis
Au dépend de mon être ô combien incompris
Et tu viens me chercher
Là où je n'ai point osé
Me toucher, pénétrer au fin fond de l'oubli
Résurgence, par l'absence, de mon être accompli
Fouettée par tes langues étrangères je naquis
Microcosme Macrocosme
Va et vient c'est parti
Désormais chaque chose subtilement nous unit