J'ai mal de te détester,
Mais tu n’es qu'un être ignoble,
Sans coeur et sans aucune pitié,
Poussée dans mes retranchements, je n'ai pu l'éviter.
Je te souhaite la douleur et la souffrance,
Depuis ce jour où tu m'as quittée.
Tu étais mon tout, mon coeur, mon espérance,
J'apprends à devoir vivre amputée.
Face contre terre, je t'implore une dernière fois,
Mais tu avances, et t'éloignes de moi.
Je te maudis, pourvu que tu crèves.
Mais c'est ma vie qui s'échappe dans tes pas.