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Vents morbides,
Vents insipides,
Que de sentiments frigides !
Alors tout devient livide.
Perdu dans mes pensées ;
Ces jardins insensés,
Ces ilots si étriqués,
Ces labyrinthes compliqués.
Refuges téméraires
Pour les peurs à abstraire.
Mais incapable de s'y faire,
Il finit par céder au calvaire.
Porté disparu
De ce corps déchu,
Par les ténèbres dévoré ;
Porté disparu,
Ce coeur abîmé
Ne sera jamais récupéré !