Il parlerait aux arbres
Aux portes des voyages
Et apaiserait les mers
En soufflant sur les terres.
Il parlerait d'enfance
Là-bas, sous ma fenêtre
Consolant l'inconstance
De la terre des hêtres.
Il calme mes blessures
Par sa force tranquille
Et je n'ai plus d'armures
Bercée par son sourire.
Il parlerait d'audaces
Je le suivrais sans traces...