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Architecte de ma vie,
C'est aux portes du labyrinthe qu'Il me dépose
Je l'implore avec ferveur lorsque je perds pied
L'oublie trop souvent quand palpable devient la clarté
J'enveloppe ma foi de mutisme lorsqu'Il ne me guide plus
Le Minotaure à mes trousses, je le maudis de n'être plus rapide
Il dépose alors dans le creux de ma main le fil d'Ariane
Qu'Il dévide devant moi
Et m'extirpe des Dédale(s) de mon âme
Car l'Architecte ne perd jamais aucun Homme