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Quand je contemple ta peau laiteuse et claire,
Je considère que tu revêts une allure princière.
Et dès que, sur moi, tu poses un regard coulant,
J'ai l'impression de m'enliser dans les sables mouvants.
A grand peine, je parviens à me contenir
Lorsque je te vois m'offrir ton doux sourire.
Il se dégage quelque chose d'assez troublant
A travers ce sourire apparemment innocent.
De tes gestes, je sens émaner de la délicatesse ;
Voilà ce qui, le plus souvent, me comble d'allégresse.
Je ne trouve rien d'aussi merveilleux
Que de contempler la lueur de tes tendres yeux.
Ces yeux dont le reflet est étrange et inouï,
On aurait dit un admirable joyau qui luit.
Leur aspect est d'une touche flamboyante,
Tel un diamant aux mille facettes étincelantes...