Vous lisez
les vibrations de ton corps
produisent les sons que j'adore
la peur en moins
de se laisser aller
jusqu'à la petite mort
avant de te dire
ce que je n'ose écrire
les soirs de pleine lune
orpheline de ces étoiles
que tu m'imagines pourtant
effeuiller en ton absence
aucune musique de chambre
ne s'élèvera cette nuit
aucune ne viendra éveiller
mon corps affamé
de sommeil
il faut que je retrouve mes esprits !