Vous lisez
princesse
de mes cent mille nuits
lâchés les tigres
qui mordaient leur laisse
nos silences surpris
au bord des bassins
se noient
à l'onde des caresses
les marbres roses puis
disparaissent nos palaces
et derrière ton paravent
de bambou
il ne reste
plus que nous
bâillant
sur notre paillasse