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Maintenant c'est son parfum qui m'enivre,
Ta souffrance qui se dévoile. Dans ton regard,
Incrédule, tu découvres les prérogatives du canif.
Ce soir il lacère éperdument celles de tes charades.
Aux détriments de tes jeux, tes mimiques,
Je choisis ce rapprochement sismique,
Physique, bercée par cette mélodie caverneuse.
Tu la suivais en rythme agrippée à ton verre,
En ce moment, elle et ton coeur battent de concert.
Mon mépris repousse la fin du calvaire ,
La sortie se révèle comme ton seul asile .
Cette barbarie te nargue, sans états d'âme ,
Tes larmes coulent sur ta chair comme des épines
Achevant cette scarification faite à la lame.