Vous lisez
Si je tempête à l'heure où ta force faiblit
Ce n'est pas l'impatience de me donner
C'est simplement que tout au creux de notre lit
Passent tellement d'autres visages ennemis.
Et si je tempête plus que je tempère
C'est aussi pour que tes doutes se libèrent
Et nous parle de nos marées et fièvres.
Et si j'obtempère sans pourtant te tempérer
Si je te bouscule sans vraiment basculer
Ce n'est rien d’autre que ma façon de t'aimer...