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Deux fois j’ai perdu pied
Dans ce monde d’estropiés
Des coups de fouet
Transformés
En réveille-matin
Pleurer ne sert à rien
Aime répéter
Monsieur Machin
Pourtant son Dieu sait
Que parfois mourir
Fait moins mal
Que de vivre ici
Ici où l’on plante
Deux mains sous terre
Des êtres humains
Qui ne repoussent pas