Vous lisez
Et sans te toucher, dans ton corps,
Je ressens tous les fourmillements,
Tous tes retournements internes,
Tous tes dégoûts, tous tes égouts.
Où t'es-tu perdu, mon pareil
En quel coin de la planisphère…
Je n'ai pas de doute, mon miroir
Me renseignera sur ton vouloir
D'encore divaguer sur cette terre.