Vous lisez
un dernier remugle de musique
pendant qu’on conduit les chevaux
de bois à l’écurie
puis le vide volubile du périphérique
entre les cimetières de voitures
le wattman au terminus pisse
contre un mur en attendant
l’heure près de son tram
tenant plié sous son bras
le journal des turfistes