Vous lisez
Il y a au fond des jours
Des hommes qui sont comme des cerfs
Dont les ramures s'accrochent aux branches
Des hommes au Bois dormant...
Leurs yeux sont fixes, immobiles
Quelque chose en eux pétrifie
Et vous restez vous demandant
Pourquoi ces hommes au Bois dormant...
Quand on s'approche leur haine darde
Comme un serpent
Une langue méchante
Il ne vous reste qu'à éviter
Les hommes au Bois dormant...