Vous lisez
sans être accompagnée
d'aucun regard aux fenêtres,
le clown est le premier
à faire la grimace.
Cherchant ce qui remplace
la féerie d'un éléphant,
ignorant ce qui dépasse
en sauvagerie les ours,
la Grande Parade passe
entre banques et bourse
sur la pointe des pattes
et presque s'excusant
de jongler
avec des soleils
là où d'autres
jonglent avec l'argent
Beau texte pour une vérité... bassement burlesque..