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Le ciel saignait sans raison
D’après l’hirondelle
Chanteuse du blues
D’une tête heureuse
Comme le Brel
Du grand Jacques
Perdu
Dans l’impossible rêve
Le vin transformé en eau
Nettoyait la digue
Et sur un sable
Presqu’amer
Les crabes se pinçaient
Pendant la trêve
Des cœurs séchés à force
De sentir le poisson salé
Qu’un pêcheur peureux
N’a jamais vraiment réussi
À ramené
En mer