Vous lisez
Je te disais que je t'aimais, que tu étais la femme de ma vie.
Tu me disais que je te faisais tout le temps rire, que notre histoire c'était pour la vie.
Je te disais que demain, nous passerions nos journées à ressasser les souvenirs présents et que jamais nous ne conjuguerions notre amour au passé.
Tu me disais que j'avais tout le temps tord de douter.
Tu me disais aussi que je te comblais et que Dieu m'avait mis sur ton chemin.
Je te disais que j'étais intimement persuadé qu'il t'avait crée à part dans un atelier privé, de ses propres mains.
Mais tu me disais aussi que tu trouvais le temps long et qu'il pourrait avoir raison de nous.
Je te disais d'être patiente, qu'il fallait tenir jusqu'au bout.
Et puis un jour tu m'as dis que tu n'avais plus assez de sentiments forts pour être avec moi qu'il y avait quelqu'un d'autre.
Que les blessures du passé étaient trop importantes, que tout était de ma faute.
Et puis je me suis fait souffrance, ai décidé de passer à autre chose comme tu le voulais.
Cabrel a déjà tout dit : "Je t'aimais, je t'aime, je t'aimerai".