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Neuf, huit, sept,
Mon colt effleure mes tempes
Six, cinq, quatre,
Mon coeur bat la chamade
Trois, deux, un...
L'heure n'est plus à la fête !
En y repensant avec le maximum de recul, on suppose qu'il se soit rétracté puisqu'il en parle.
Roulette russe ? Arme enraillée ? Moment de lâcheté ? Instinct de survie ? Retour de conscience ? Contretemps de dernière seconde ? Tous les scénarios sont ouverts pour les imaginations les plus débordantes dans la foulée de ce poème à couper le souffle, tant il est prenant par le suspense insoutenable qu'il engendre.
À moins que...
Dans ce cas, j'imagine volontiers la fin comme suit :
Zérrrrrrrr...
Bouuuuuuuuuuuum